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Les croyances limitantes



Depuis plus d’un an, quelque-chose de merveilleux se produit lorsque Coleen et moi-même nous nous retrouvons.


Nous ne savons pas vraiment comment l’expliquer mais quand nous sommes ensemble, nous captons les mêmes prises de consciences et celles- ci arrivent à nous comme un défilé d’informations qui nous remplit de joie et qui parfois même, nous donnent le vertige.


Nous avons décidé de partager ces prises de consciences avec vous.


Nous nommerons Léo, la nature de ces informations.


Nous reconnaissons que les prises de conscience que nous recevons se matérialisent d’une même façon, comme une signature, une couleur, qui revient à chaque fois quand on se retrouve, et qui a le même goût.





Les mots ne vont peut-être pas toujours convenir au mieux pour décrire ce que nous ressentons, ceux-ci sont parfois bien limitants mais ils vont quand même permettre le chemin du mental au ressenti.


Les croyances limitantes:


Durant mon rendez-vous de dentosophie (thérapie liée aux dents), la thérapeute m’explique comment mes dents se sont placées vis-à-vis de mes croyances de dedans (dedans, de dents). A ce moment-là, je me rends compte de beaucoup de choses.


Mes dents manquant de place, je ressens aussi intérieurement ce manque de place.


Elle me pose quelques questions et nous arrivons à un point incroyable : celui de la rencontre de la croyance limitante que j’ai installée en moi et moi-même.


La croyance qu’en prenant ma place, je ne ferais pas preuve d’humilité.


Isabelle appuie sur cela, et je saisis donc que l’humilité est pour moi une qualité très importante à mes yeux.


En échangeant sur le sujet avec mon amie Coleen, nous arrivons à une autre croyance : celle qu’en prenant notre place, nous allons prendre celle d’un autre.


Mais alors comment je pourrais prendre la place de quelqu’un d’autre alors que nous avons toutes et tous notre juste place partout et en tout temps ?


Ce qui peut se produire c’est que si je ne prends pas ma place donc « mon espace » cet espace va être utilisé par quelqu’un d’autre tout simplement et de façon inconsciente.


Je pourrais pointer du doigt en disant « cette personne prend beaucoup de place » mais si je prenais ma place, cette personne prendrait elle autant de place ???


Et bien non, en prenant ma place, on aide chacun à prendre la sienne et naturellement tout est juste et fluide.


Si je me fais toute petite et que je laisse volontairement mon espace à quelqu’un d’autre, alors je ne peux pas me plaindre de ne pas me sentir à ma place alors que je viens de donner cet espace à une autre personne que moi.


Une autre croyance limitante : j’ai, depuis petite, cru que la « faiblesse » était quelque chose de honteux.


Dans cette croyance, j’attirais à moi des personnes « dures » et puisque je ne m’autorisais aucunes faiblesses j’étais incapable de dire « stop » lorsque mon corps ou mon esprit étaient arrivés à leurs limites.


Je pointais du doigt ces personnes en leurs disant, que s’étaient-elles qui ne supportaient pas la « faiblesse » et qu’elles attendaient de moi que je sois une guerrière qui réagit avec force en toutes situations.


(Je vous encourage vivement à poser des questions sur vos croyances à votre entourage sans avoir peur des réponses.)


J’ai demandé à une personne de ma famille : attends-tu de moi que je réagisse de tel manière ? si je fais cela ne vas-tu pas penser de moi que je suis comme ceci ou comme cela ?


Et bien non….c'est ce que la personne m'a répondu.

Depuis, je ne sais combien d'années je pensais qu'elle pensait cela...


Finalement, je pensais que les autres allaient réagir d’une certaine façon tout simplement par ce que j’entretenais une croyance vis-à-vis de cela.


Et donc qu’est ce qui se passe ?


Puisque l’extérieur est le reflet de mon inconscient, et bien je reçois des validations venant appuyer mes croyances.


J’espère être clair.


C’est pour cela qu’il est parfois difficile de casser ces croyances, car tout nous pousse à croire que celles-ci sont « vraies ».


La seule façon de pouvoir créer une nouvelle vie, et de pouvoir faire voler en morceau le personnage qu’on s’est créé et d’aller regarder ces croyances.

Lorsque vous pointer du doigt le comportement de quelqu’un, vérifier si ce n’est pas vous qui pense cela ?


Posez-vous la question.


Il y a aussi, les croyances des autres et là nous pouvons appliquer le « ne pas en faire une affaire personnelle » accord Toltèque de Don Miguel Ruiz.


Exemple : Je ne mets jamais de casques ou de genouillères pour faire du vélo ou du roller.

Ma mère me dit que je vais fatalement finir par me faire mal.


Car dans son passé, elle s’est déjà cassé la figure plusieurs fois, et dans toutes ces situations elles ne portaient pas de protection donc pour elle, c’est se mettre en insécurité vis-à-vis de ses expériences.


Ici j’ai le choix, d’attraper la croyance de ma maman et d’en faire une vérité. J’expérimenterais surement la chute et à ce moment-là je me dirais « maman avait raison, je suis tombée et heureusement que j’avais mes protections ! »


Alors qu’en fait, c’est le fait que j’ai attrapé cette "croyance" qui a contribué à me faire tomber.

Voyez-vous ?


J’ai choisi de ne porter aucunes protections, et j’ai la foi et la croyance que dans mon monde, il n’y a aucune raisons que je tombe.


Que l’histoire de ma maman soit son histoire, et que tout cela n’est qu’un transfert de ses peurs qui ne sont pas les miennes.


Et tout cela nous amène à quelque chose de merveilleux : le discernement, cette faculté de réfléchir par soi-même et de choisir ce qui est bon pour moi en faisant mon tri en mon âme et conscience.

Un puzzle sacré magnifique.


Un grand merci à Léo, à Coleen.


Voici une histoire qui en dit long sur tout ce que je viens de vous raconter:


L’histoire de l’éléphant enchaîné


C’est l’histoire d’un éléphant de cirque vu par l’auteur lorsqu’il était enfant.


Animal extraordinaire de par son poids, sa taille et sa force, celui-ci restait toujours attaché après chacune de ses représentations. Une chaîne était ainsi reliée entre une de ses pattes et un petit pieu enfoncé dans la terre.


Même si la chaîne était épaisse, il semblait évident que l’animal pouvait parfaitement et facilement se libérer de cette emprise. Mais il n’en faisait rien. Alors pourquoi ? Qu’est-ce qui le retenait ?


Un jour, l’auteur posa la question à quelqu’un d’assez savant.


Voici sa réponse :

« L’éléphant du cirque ne s’échappe pas parce que, dès son plus jeune âge, il a été attaché à un pieu semblable. »


Ainsi, dès sa plus tendre enfance, l’éléphant a été attaché. Au début, le piquet étant trop solide pour lui, il n’a pas réussi à se libérer. Il a probablement dû recommencer, jour après jour, à tirer sur la chaîne sans y parvenir. Et cela « jusqu’à ce qu’un jour, un jour terrible pour son histoire, l’animal finisse par accepter son impuissance et se résigner à son sort. »


L’animal croît donc clairement qu’il est incapable de faire tomber ce pieu.


Ses efforts infructueux ont été gravés dans sa mémoire l’empêchant ainsi de se mettre en mouvement… De s’en aller.

Des croyances erronées qui nous empêchent d’agir

Vous l’aurez deviné ! Nous sommes toutes attachées à de nombreux pieux qui nous empêchent d’agir. Privées d’une certaine liberté, nous rencontrons des difficultés à profiter pleinement de notre existence et de ses opportunités.


Malgré nous, nous sommes conditionnées par des expériences passées, des échecs qui nous bloquent dans notre évolution.


En prendre conscience permet d’être déjà dans l’action. C’est une première étape. Ensuite, il est important de défaire ces croyances erronées en essayant de nouveau d’être capable de…


Source: Materncoaching



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Avec tout mon amour,


Audrey Lehy





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